Published On: 02.07.2020|Categories: Nouvelles de l’entreprise|Tags: |

Définir un projet d’installation de loisirs revient à équilibrer une balance. Le projet lui-même occupe l’un de ses extrêmes et doit compenser le plus précisément possible le poids à l’autre bout, le marché. Un déséquilibre entre les deux, par défaut ou en excès, compromettrait le succès futur de l’installation. Pour définir le projet, déterminer son poids et le mettre sur la balance, il est nécessaire de connaître au préalable les paramètres du marché. Amusement Logic développe une étude de faisabilité détaillée pour chacun des projets qui lui sont confiés, avec l’objectif d’équilibrer cette balance.

Ainsi, tout projet de loisirs se trouve face à un marché préexistant avec lequel il doit être mesuré. Les paramètres de l’un détermineront ceux de l’autre, et l’équilibre entre les deux garantira le succès de l’opération. Mais ces paramètres sont obtenus de deux manières différentes : par des enregistrements définis et des données connues, et par des estimations basées sur l’expérience. Précisément, plus de deux décennies de travail dans l’industrie des loisirs et plusieurs centaines de projets construits, tous économiquement viables, garantissent la portée et la fiabilité des études qu’Amusement Logic réalise pour ses clients.

Prenons un exemple : du côté des données connues, un des facteurs déterminants du marché est la taille du grand public ; du côté des estimations, ce facteur est complété par la variable du public potentiel qui s’y trouve, ainsi que par celle de ses habitudes. Ainsi, pour connaître les données du grand public, il sera nécessaire de recourir au recensement et de connaître la densité de population de la zone. C’est-à-dire le nombre d’habitants vivant à moins de 50 km de l’attraction, ceux vivant entre 50 et 100 km, et ceux vivant entre 100 et 150 km. Au même temps, il sera également utile de connaître le nombre de touristes qui fréquentent la destination et le niveau de revenu de chacun d’entre eux. Cependant, ces données seront inutiles si nous n’estimons pas la capacité de pénétration du centre de loisirs projeté et de ses attractions dans ce public cible, ainsi que le pourcentage de répétition dans leur fréquentation. Un autre exemple est celui des jours de fonctionnement de l’installation, qui sont des données objectives, en ce qui concerne l’estimation des jours de pointe de fréquentation.

Une fois que les variables mentionnées et d’autres telles que celles relatives aux concurrents existants sur le marché, etc. sont connues, il est possible de déterminer certaines grandeurs du projet, telles que le revenu estimé de l’entreprise qu’il constitue, ainsi que la projection de ses coûts de fonctionnement. Pour la même raison, sur la base de ce dernier, il est facile d’établir le flux de trésorerie attendu sur 10 ans. Ainsi, peu à peu, en croisant les données dans une étude de faisabilité rigoureuse, il est possible de faire une composition de la taille de l’entreprise que représente le projet de loisir. Il est alors temps de prendre des décisions et de définir sa taille de manière définitive. Avec le rapport de faisabilité, en revanche, le promoteur disposera d’un document réaliste, préparé par une société accréditée et expérimentée, qui lui permettra de proposer le projet à des investisseurs potentiels, et/ou de sélectionner des sources de financement appropriées. Tout cela sans jamais perdre de vue l’objectif ultime : développer des projets de loisirs viables.

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